“The case of former priest Picot adjourned again” & original French text

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acadienouvelle.com

Monday 3 Novembre 2014

By Béatrice Seymour

BATHURST – The cause of former Bathurst priest Charles Picot, was postponed for the umpteenth time in Bathurst Provincial Court on Monday. He will make his plea in early January 2015.

Not surprisingly, Mr. Picot, who lives in Montreal, was not present in court. His legal aid lawyer, Dave Paulin, requested a postponement Judge Ronald LeBlanc for his client looks more the new charges he faces since late September.

In addition to being charged with sexual assault, indecent assault on a male person and gross indecency, a new information was filed against him there two months.

The next hearing of the former priest was set for January 5, 2015 for his choice of trial.

The facts of the first information back to the 1980s and would have occurred in the parish of Mount Carmel, east of Bathurst. Charles Picot was the pastor of this church from 1980 to 1987.

The case was adjourned several times in court, in part because of the health problems of the accused.

Bathurst provincial court did not disclose the nature of the new charges against Charles Picot.

This is the fourth time that the former priest must meet indecent acts in court.

He was convicted in 1993 and sentenced to seven months in prison for sexual assault on a minor whose identity has remained anonymous.

In 2011, he was sentenced to eight months in prison for indecent assault on Derek Lapointe. The victim was older than 12 or 13 years at the time, in the late 1970s Mr. Picot was then vicar at Dalhousie.

One who has worked in the Diocese of Bathurst was however acquitted in another trial in 2010. The court was unable to establish that the alleged victim, Michael Jensen, were based.

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La cause de l’ex-curé Picot encore ajournée

acadienouvelle.com

Lundi 3 novembre 2014

par Béatrice Seymour

Charles Picot à sa sortie de la Cour du banc de la Reine de Campbellton, le 3 mars 2010. - Archives
Charles Picot à sa sortie de la Cour du banc de la Reine de Campbellton, le 3 mars 2010.

BATHURST – La cause de l’ancien curé de Bathurst, Charles Picot, a été ajournée pour une énième fois en Cour provinciale de Bathurst, lundi. Il devra faire connaître son plaidoyer au début janvier 2015.

Sans surprise, M. Picot, qui réside à Montréal, n’était pas présent en cour. Son avocat de l’aide juridique, Dave Paulin, a demandé un report au juge Ronald LeBlanc pour que son client examine davantage les nouvelles accusations auxquelles il fait face depuis la fin septembre.

En plus d’être accusé d’agression sexuelle, d’attentat à la pudeur sur une personne de sexe masculin et de grossière indécence, une nouvelle dénonciation a été déposée contre lui, il y a deux mois.

La prochaine audience de l’ancien prêtre a été fixée au 5 janvier 2015 pour son choix de procès.

Les faits de la première dénonciation remontent aux années 1980 et se seraient produits à la paroisse du Mont-Carmel, à l’est de Bathurst. Charles Picot a été le curé de cette église de 1980 à 1987.

L’affaire a été ajournée à plusieurs reprises devant les tribunaux, en partie en raison des problèmes de santé de l’accusé.

La Cour provinciale de Bathurst n’a pas dévoilé la nature des nouvelles accusations à l’encontre de Charles Picot.

C’est la quatrième fois que l’ancien curé doit répondre à des actes indécents devant les tribunaux.

Il avait été reconnu coupable en 1993 et condamné à sept mois de prison pour des agressions de nature sexuelle sur un mineur dont l’identité est demeurée anonyme.

En 2011, il a écopé de huit mois de prison pour attentat à la pudeur sur Derek Lapointe. La victime n’était âgée que de 12 ou 13 ans au moment des faits, à la fin des années 1970. M. Picot était alors vicaire à Dalhousie.

Celui qui a œuvré dans le diocèse de Bathurst avait cependant été acquitté au cours d’un autre procès en 2010. La cour n’avait pas pu établir que les allégations de la victime, Michael Jensen, étaient fondées.
Publié dans: Actualités
Béatrice Seymour
À propos de Béatrice Seymour

Née en Guadeloupe, une île française, Béatrice Seymour habitait dans la région parisienne avant de découvrir le Canada, au milieu des années 1990. Après des études de droit à Paris, elle a œuvré dans le monde des affaires, à Bathurst. Au début des années 2000, Béatrice a décidé de réaliser…
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